Vin convivial par excellence, La Ficelle Saint-Pourçain se présente dans une bouteille dont la sérigraphie reproduit, chaque année, le dessin inédit d’un humoriste. Cette année c’est Berth, le caricaturiste qui a décoré avec humour ce vin de soif, convivial et décomplexé. Quoi de mieux qu’un peu de poésie et d’humour pour retrouver cet esprit « Bon-vivant » si cher à la Ficelle !

Après Piem, Barberousse, Loup, Dubouillon, Faujour, Willem, Tignous, Honoré et bien d’autres, c’est au tour de Berth d’habiller le flacon de cette nouvelle cuvée.

« J’aime le vin, mais je n’y connais pas grand-chose, en revanche, je suis assez amateur de la Ficelle. J’aime aussi la gastronomie, c’est mieux que les coquillettes au beurre ! J’ai été parrainé par mon ami Pixel Vengeur illustrateur du millésime 2021 et j’ai été par la suite accepté par l’ensemble des précédents participants, car je crois que c’est ainsi que cela se passe. Cerise sur le gâteau, on m’offrait des bouteilles de vins en échange d’un dessin ! », ironise Christophe Bertin dit Berth. 

2022 a été un millésime très surveillé par les vignerons. En effet, le souvenir du millésime précédent, marqué par son sévère gel de printemps, canicule et menaces d’orages de grêle, a créé l’attente d’une belle vendange. Au final, Les vignerons ont  été comblés.

Deux cuvées aromatiques

La Ficelle Saint-Pourçain est un bel assemblage de gamay (70%)  et de pinot noir (30%) où se mêlent des notes de fruits rouges à celles des fruits noirs aux arômes délicats de mûre et cassis, avec une finale légèrement épicée et poivrée. Frais et léger, ce vin rouge gourmand s’apprécie aussi bien à l’apéritif qu’avec des tapas, une planche de charcuterie, des viandes grillées ou avec un plateau de fromage. Le vin des copains par excellence ! (7 euros)

Le Saint-Pourçain nouveau existe aussi en « Blanc Premier 2022 », composé de chardonnay (65%) et Tressaillier (35%). Bouche souple et expressive avec une attaque plaisante. Les arômes bien présents de fleurs blanches expriment la richesse du millésime offrant un joli retour aromatique de notes florales. A testez absolument sur un plateau de fruits de mer ou une andouillette grillée… (7,50 euros) 

Késako la Ficelle ?

La légende raconte qu’en l’an 1487, Gaultier, tavernier à Saint-Pourçain, servait le vin dans des pichets en terre et en étain qui ne lui permettaient pas d’évaluer avec précision la consommation de ses clients. Pour mettre fin aux discussions interminables sur le prix à payer, il eut l’idée de plonger un bout de ficelle dans les pichets, en faisant un noeud correspondant aux mesures de l’époque, la demie et la pinte. Ainsi, naquit la légende de la Ficelle réhabilitée par l’Union des Vignerons de Saint-Pourçain en 1987.