Planteray Trinidad 2003, Bouteille du WE

Maison Ferrand nous offre la dernière étape de sa Collection millésimée Terraverra des rhum Planteray, le Trinidad 2003, notre Bouteille du WE.

Le Trinidad 2003, est la nouvelle et dernière pépite en édition limitée de la Collection millésimée Terraverra des rhums Planteray. Celle-ci a été créée pour représenter au mieux la richesse des terroirs de rhum à travers des expressions rares et millésimées.

Ce Trinidad finalise ainsi un véritable voyage gustativo-geographique au travers de rhums remarquables, sélectionnés et affinés par Alexandre Gabriel, maître assembleur et créateur de spiritueux de la Maison Ferrand.
Les éditions précédentes ont mené les amateurs de rhum aux Îles Fidji avec un millésime 2004, au Panama avec un millésime 2010, à la Barbade avec un millésime 2007, au Belize avec un millésime 2008 et à l’Ile Maurice avec un millésime 2013.

Ainsi ce Planteray Trinidad 2003 est le rhum le plus âgé de la collection Terravera. Il a vieilli pendant 19 ans dans d’anciens fûts de bourbon à la distillerie Port of Spain à Trinidad. Puis comme pour chaque Planteray, le rhum a entrepris une traversée maritime vers la France pour passer trois années supplémentaires dans d’anciens fûts de chêne français Ferrand à Javrezac en Charente, à côté de Cognac. Un véritable affinage destiné à apporter de la complexité et une originalité au rhum.

Embouteillé à 47,8 % il annonce les débats dès l’ouverture du flacon avec un nez intense, riche et gourmand. En bouche se retrouve les notes vanillées et fruitées du nez, avec du caramel, mais aussi des touches de fruits secs, ainsi que des fruits exotiques, de litchi. La finale est longue sur des notes plus épicées et une touche d’agrumes apportant de la fraicheur.

Distribué exclusivement en Europe et en Asie-Pacifique, au prix de vente conseillé de 84 euros, ce dernier millésime de la collection est un collector de haut vol de la maison Planteray.

A titre d’anecdote, ce rhum nous rappelle une de nos premières visites à la Maison Ferrand où Alexandre Gabriel nous avait accordé le privilège de déguster un fût qu’il gardait précieusement au chai, et non destiné à être commercialisé, un incroyable Trinidad 1989 titrant 53%…