Bûche de Noël de l'Hôtel Nolinski 2018

Cette année pas de catalogue à la Prévert, nous ne vous présentons que les bûches que nous avons eu l’occasion de déguster et qui ont su nous charmer, parfois pour leur esthétique, parfois pour leur créativité gustative ou pour leur rapport qualité prix.

Bûches de boulangers et distributeurs

Commençons ainsi chez Paul qui privilégie les notes fraiches et gourmandes avec une bûche de tradition citron meringuée. Elle est composée d’un biscuit joconde roulé et garni de crème au citron, le tout enrobé d’une onctueuse meringue italienne nappée et surmonté d’un décor en pâte d’amande, éclats de noisettes caramélisées, et groseilles. Pour un dessert traditionnel et abordable. En 2 formats : 4/5 parts ou 8/10 parts. A partir de 19 euros.

Chez Intermarché on a fait appel à Philippe Segond, Meilleur Ouvrier de France, pour notamment proposer Le délice Ô Chocolat, une bûche composée d’une mousse au chocolat d’origine Saint Domingue, d’un crémeux au chocolat et de deux inserts de biscuits cacao aux éclats de cacao caramélisés. Simple et léger, pour ceux qui veulent du bon chocolat pour seulement 14,90 euros les 6/8 parts.

Les Galeries Lafayette ont fait appel à la créativité et au talent de sept artisans du goût pour réaliser des créations exclusives au magasin du boulevard Haussmann à Paris. On retiendra la bûche 35, Haussmann de Yann Couvreur une mousse parfumée au lait d’amande, praliné amande, biscuit dacquoise et marmelade à la mandarine. Légèreté, douceur et une jolie note fruitée. Pour 6 personnes, 45 euros.
Et celle de Jean-Paul Hévin, joliment baptisée Rêve, pour un délicat biscuit sans farine, dacquoise amande-châtaigne et poivre de Timut, mousse voluptueuse au chocolat noir assemblage Jean-Paul Hevin 68% de cacao. Sans gluten, léger et avec du grand chocolat. Pour 7 personnes, 52 euros.

Bûches de chocolatiers

Mais le chocolatier Jean-Paul Hévin propose aussi dans sa boutique 4 créations chocolatées inspirées de ses nombreux voyages. Et pour partir en famille, c’est Noël tout de même, prenons le P’tit-Train. Il nous transporte avec son biscuit chocolat sans farine, sa dacquoise noisettes et châtaignes et sa mousse au chocolat noir assemblage 68% de cacao. C’est beau et tellement bon ! En individuelle à 7 euros ou 43 euros pour 6 à 8 personnes.
Et que dire de son gâteau de voyage, le Sidéral, un biscuit chocolat noir aux amandes et d’une mousse au chocolat noir assemblage 75% de cacao. Sablé à la fève de cacao. Sans oublier le punch au whisky fumé (alcool évaporé à la cuisson) qui sublime le chocolat. 43 euros, expédiable par la poste.

A La Mère de Famille fait jouer au bowling des pingouins sur une belle bûche de Nôel composée de glace au chocolat (70%, origine Venezuela), de sorbet chocolat (58%, origine Venezuela) et d’un biscuit croustillant praliné.Six quilles manchots au chocolat « signature » (noir 65%) viennent décorer la bûche ainsi qu’une boule de bowling au chocolat « signature » (noir 65%) et d’un bonnet en pâte d’amandes. Faut il préciser que le chocolat est à l’honneur ? 55 euros.

Bûches d’hôtels

La Chef Pâtissière Florence Lesage de l’hôtel The Westin Paris-Vendôme a réalisé une bûche au décor totalement dans l’esprit de l’établissement. Elle associe la vanille de Tahiti et le pamplemousse rose confit au thé bleu et légèrement parfumé à la fleur de cerisier. Le biscuit aux amandes dévoile un croustillant praliné à base d’un crumble légèrement salé, de riz soufflé, de noix de pécan, de noisettes et d’amandes ainsi qu’une touche de chocolat au lait. Dégustation au bar Tuileries et sur la terrasse de l’Hôtel au mois de décembre. Desert léger aux saveurs douces. 13 euros la part individuelle ou 80 euros la bûche.

Pour les hôtels Nolinski et Brach Yann Brys, Meilleur Ouvrier de France et Directeur de la création sucrée Evok Hôtels a créé des bûches de Noël toujours aussi esthétiques. Au Nolinski on se régalera d’Art Gourmand, une tablette sculpturale qui mélange les saveurs du chocolat au lait à celles du pralinée de l’amande, de la fève de cacao et de la noix de pécan. C’est gourmand et délicieusement léger. 90 euros.
Pour son premier Noël, au Brach c’est « L’envol », une bûche originale aux couleurs chaudes et cuivrées ou l’on retrouve l’univers culinaire méditerranéen du restaurant. Inspirée de la façade du bâtiment et de son aspect végétal et bucolique imaginé par Philippe Starck. Savoureusement équilibré avec du croquant et de belles saveurs chocolatés. 98 euros.

Bûches de glacier, de pâtissiers et autre maison de thé

Première aussi pour David Wesmaël, Meilleur Ouvrier de France glacier, qui à la Glacerie de Paris propose une composition inédite, à personnaliser selon ses goûts ! La base commune se compose d’une glace vanille avec un cœur coulant au caramel à la pointe de sel, un praliné croustillant à la noisette sur un fin socle de meringue à la française. Il suffit d’y ajouter ses Envies à choisir, peuvent être variées entre elles ou d’une seule saveur pour les monomaniaques. Par exemple glace à la pistache, sorbet griotte et crémeux chocolat noir amaretto, ou glace chocolat noir grand cru d’Altapaz Séquencia, sorbet cassis de Bourgogne et coulis mangue-passion et pourquoi pas glace aux marrons d’Ardèche, sorbet clémentine Corse et confit de cassis noir de Bourgogne. 5 Envies pour 10 personnes pour 72 euros.

En plein épisode étouffant des « gilets jaunes », rafraichissons l’atmosphère avec le retour du bonnet rouge. Mais cette fois en tant que symbole de communion, de paix et de fête, celui de Noël, chez Ô Sorbet d’Amour. Cela au travers d’une glace individuelle, association de sorbet framboise et de crème glacée à la noix de coco, rehaussée par le croquant d’une crème glacée stracciatella et le moelleux d’une dacquoise coco. à partir de 6,80 euros.

Angelina qui n’en est pas à sa première bûche est partie cette année sur la piste du Trésor de Noël. Avec une très jolie composition en édition limitée, imaginée autour de trois recettes, sur une base de yaourt, biscuit croustillant au chocolat blanc, feuillantine et glaçage au chocolat blanc, sont disposées différentes bouchées. Permet proposer de nombreuses saveurs en un seul dessert. Pour les « becs sucrés ». 85 euros pour 8 – 10 personnes.

Chez Ladurée on a jouer la carte du Nord en invitant le Chef norvégien Sverre Sartre qui a pris pour thème les boites en bois utilisées en Norvège pour transporter les pâtisseries. Un beau gâteau composé d’une ganache façon riz au lait, d’une compotée de griottes et épices ainsi qu’une mousse à la rose, le tout sur une dacquoise aux amandes et son croustillant de noix de macadamia. Savoureux, acidulé et croustillant. 68 euros.

Chez Mariage Frères on a tout simplement misé sur un classique, le sapin ! Les bûches se déclinent en vert forêt d’émeraude, au thé noir Esprit de Noël (fraises des bois et framboises, génoise légère au thé vert Matcha du Japon, sur une meringue croquante et fondante à la vanille Bourbon) ou en blanc manteau de neige, au thé blanc White Noël (kumquats confits, caramel
‘fleur de sel’ aux noisettes grillées, ganache fondante au chocolat-gianduja sur une meringue croquante et fondante à la vanille Bourbon). C’est beau, délicat et léger. Pour 4 personnes 38 euros le sapin de Noël ou 96 euros la forêt de 3 sapins de Noël.

Au Café Pouchkine à Paris il y a parait-il une bûche Cigarette Russe  imaginée par Nina Métayer. Malheureusement on ne l’a vue qu’en photo, le jour de la dégustation en avant première il y eu tellement de gourmand(e)s pour la goûter qu’il n’y en avait plus lorsque l’on est arrivés…

Les bûches de Noël 2018 en images

Bûche Meringue Citron Paul

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