L'ElyséeRetrouvez ici une revue de web cuisine et gastronomie de la semaine avec une sélection d’articles et d’informations glanées sur Internet.

Les caves de la République: La cave de l’Elysée n’est pas très loin du centre de commande de l’arsenal nucléaire français, et l’endroit est presque aussi secret. Hormis le personnel habilité, il est impossible de la visiter et la porte est blindée comme celle d’un coffre-fort. Quinze mille bouteilles y sont couchées. Tout ce qui se fait de mieux dans le vignoble français : les Châteaux Ausone, Petrus, Figeac, Yquem, les très grands noms de la Bourgogne, une collection de champagnes millésimés. C’est ici que la République préserve un bout de son prestige et l’une des armes de sa diplomatie. (Le Monde)

L’agriculture biologique prise au piège de la grande distribution: Les produits biologiques ont envahi les rayons des supermarchés. Mais derrière l’étiquette « bio », on trouve aussi des gigantesques fermes, une main d’œuvre sous-payée et sans droits, des aliments importés de l’autre bout du monde. Les produits chimiques en moins, le label bio en plus. Des dérives de « l’industrie du bio » dénoncées par le journaliste Philippe Baqué dans son ouvrage La Bio entre business et projet de société. Entrez dans les coulisses du nouveau business mondial. (Bastamag)

Luis Irizar : l’étincelle de la gastronomie basque: Jour de violente tempête à Donostia en cette froide matinée de décembre. Elle se dresse en face du port de Donostia. Abritée dans un rez-de-chaussée d’un immeuble ancien. C’est l’école de cuisine Luis Irizar qui porte le nom de son fondateur. Une école où l’on vient du monde entier se former en deux ans au métier de cuisinier. (Le Journal du Pays Basque)

Le chef Anthony Caillot fait mousser le camembert: Anthony Caillot, 37 ans, affiche un CV dont rêveraient des quinquagénaires. Après quatre ans dans des restaurants de la Manche, le jeune homme de La Haye-Pesnel (Normandie) part faire ses armes dans un 2 étoiles de Courchevel. (Ouest France)

Un repas de Noël à près de 40.000€ par tête: Une espèce très rare de dinde enveloppée de feuille d’or 50 carats, un champagne antérieur à la première guerre mondiale et les oeufs de poisson les plus chers de la planète : voici un des menus de Noël les plus chers au monde. (La Parisienne)