Alain DucasseRetrouvez ici une revue de web cuisine et gastronomie de la semaine avec une sélection d’articles et d’informations glanées sur Internet.

Gastronomie: au chevet des cépages oubliés: Douce noire, romorantin, prunelart, chouchillon: des vignerons français tentent de redonner vie aux cépages oubliés, menacés de disparaître face à la domination de grands cépages internationaux qui ne représentent qu’une infime partie de la biodiversité de la vigne. (Nouvel Obs)

Alice Moussan, lauréate du Concours Jeunes talents restaurateurs de France: Dijon (21) 6 finalistes se sont affrontés lors de la grande Finale Nationale qui s’est déroulée à Dijon, face au public et sous les yeux du jury présidé par Michel Portos. (L’Hôtellerie-Restauration)

Faut-il moins taxer les restaurants qui font de la vraie cuisine?: En France, une majorité de restaurateurs se contente de réchauffer. D’où l’idée du patron des députés PS: créer une TVA à taux réduit pour les établissements qui « transforment les produits ». (Chalenges)

Ducasse veut son école de cuisine à Nanterre: Le chef multi-étoilé Alain Ducasse souhaite créer à Nanterre un campus international des arts culinaires dans les locaux de l’école d’architecture, à l’abandon depuis 2004. (Le Parisien)

Epluchons Ginette Mathiot: C’est un arrière-petit-neveu, l’auteur de ces lignes (1), qui le demande : esprit de Ginette, es-tu là ? Dix ans après sa mort, soixante-seize ans après la sortie (en 1932) de la première édition de son best-seller Je sais cuisiner (6,3 millions d’exemplaires vendus dans le monde), Ginette Mathiot continue de peser sur les étagères des cuisines. Et Albin Michel, éditeur de la première heure, de capitaliser sur son nom. Le 24 avril sort une réédition d’un ouvrage de 1965, Je sais cuisiner autour du monde.Le livre de 500 recettes a été «remis au goût du jour». Mais comment diable moderniser l’oeuvre d’une morte ? Tambouille avec l’au-delà ? Spiritisme via les plaques de cuisson ? En fait, il n’y a plus beaucoup de Ginette dans l’ouvrage. Peu avant sa mort, elle avait signé un avenant au contrat avec l’éditeur l’autorisant à rééditer le livre librement. (Libération)

Un potager sur les toits de Paris: L’école AgroParisTech, située dans le 5ème arrondissement de Paris, a transformé son toit en potager laboratoire. L’objectif ? « Tester des solutions innovantes destinées à cultiver de façon durable en milieu urbain. Des potagers pourraient ainsi verdir plusieurs hectares de toitures parisiennes en réutilisant compost, déchet de bois, marc de café… » (Alimentation.Gouv)